Maison d'édition/revue | Horaire | Auteurice(s) | Recueil/revue |
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Midis poésie & Arbre de Diane | 14:30 | Marie Darah & Eva Mancuso | Meutes & Je n'arrive pas à parler et à dire des choses en même temps |
éditions Hourra | 14:40 | Clarisse Michaux | La gaieté me sidère |
Poesie.io | 14:50 | Elsa Assoun | Apocalypse désir |
Revue foehn | 15:00 | lecture collective | Numéro 1 - Poulpe fiction |
Blow Book | 15:10 | Sébastien Conard | Rabiots-Restjes |
Mainten de la Reine | 15:20 | Camille Paule | trois quarts de peine |
Bleu d'Encre | 15:30 | Elya Verdal | L'amour en creux |
Artderien | 15:40 | Patricia Favreau | Écoute Voir |
Editions du Bunker | 15:50 | Laurence Ermacova | États de mes lieux |
Editions du Noroît | 16:00 | Charlotte Francoeur | Adieu les crevettes (ou inédits) |
How to become | 16:10 | Elina Chauveaux et Lætitia Paviani | Acqua in bocca |
L'Arbre à paroles | 16:20 | Marie HL | jardin |
Dans ce livre, tout un chacun, et plus particulièrement les « Petites Personnes », ont droit de cité. Pleinement ancré dans la vie concrète, dans la lutte pour l’égalité, la bienveillance, le respect, ce recueil constitue également une offensive à l’égard du capitalisme, de l’exploitation, de tout ce qui bride et musèle l’être (humain ou non).
À travers une écriture qui écarte tout effet de style et qui semble décrire de façon très simple, presque enfantine, des faits et des états de faits, l’autrice cherche à mettre au jour le caractère absurde et problématique du monde qui nous entoure et révéler les mécanismes d’oppression auxquels nous sommes tellement habitué.es que nous ne les voyons plus.
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Les éditions Hourra publient de la poésie et des écrits sur l’art. Créée en 2019 sur la montagne limousine, la maison naît de l’envie de défendre des pratiques d’écritures marginales où se rencontrent le poétique et le politique. Fruit d’amitiés et d’intuitions communes, elle réunit des artistes et des autrices pour qui la révolte fait corps avec la beauté.
La gaieté me sidère est une approche sensible de l’expérience de spectatrice du film Jeanne Dielman de Chantal Akerman. Ce livre, qui agit comme une suspension poétique du temps, interroge le statut de l’action au cinéma comme dans la vie.
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"Apocalypse désir" est une œuvre poétique à la croisée de l’autofiction. Une expérience intime qui se dévoile des caresses jusqu’à la rage. Une incantation, qui explore les couches introspectives jusqu’à l’affranchissement. Mots, images et mythes se construisent et se déconstruisent au fil d’une traversée intérieure. Entre langage cru qui bouscule et intermèdes contemplatifs, se tisse une réflexion autour de la violence des corps et du désir d’exister.
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Foehn est un projet de revue papier et numérique, poétique, écologique, politique, engagée ainsi qu'intersectionnelle. À partir d'écritures diverses et pluridisciplinaires, chaque numéro considère son sujet pour ce qu'il est et ce qu'il représente. Le non humain n'est pas un prétexte : il est sa propre cause.
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Blow Book propose de la narration par images, populaire par son prix et par son mode de distribution.
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Maintien de la Reine accueille les écritures poétiques contemporaines, en donnant voix aux questions qui traversent le paysage, la féminité, l'intimité, les lieux.
"trois quarts de peine" a été écrit dans le cadre du mentorat "devenir poéte.esse" initié par Rim Battal à Paris. Ce texte autobiographique aborde la question de la dépression et du deuil à travers le prisme des lieux d'enfermement : la prison, l'hôpital psychiatrique, la ruralité, et laisse une part importante à la parole de l'autre. Les lieux et les motifs structurent le récit et reflètent une identité diffractée. C'est le premier recueil de Camille Paule.
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BLEU D'ENCRE est une maison d'édition belge consacrée à la poésie depuis 2013. Elle publie des auteurices francophones à raison de 6 à 10 recueils par an et compte une soixantaine de titres dans son catalogue.
L’amour en creux est un texte en prose libre qui décrit la rencontre amoureuse, sans contrainte du carcan du couple normé. Les thèmes qui sont en phase avec notre époque, que ce soit le consentement, la sexualité, la maternité ou même l’argent, y sont abordés de façon poétique et sans tabou. Une respiration poétique utile dans un monde tourmenté.
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Artderien (créée en 2018) s'attache à suivre tous les chemins de l'expérimentation artistique dans ses multiples langages (écrit, sonore, pictural, visuel).
Écoute Voir : recueil de 16 textes poétiques à la musicalité travaillée, écrits essentiellement pour l'oralité. L'altérité, notre finitude, en sont les thèmes majeurs, sous tension.
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La maison, les éditions du Bunker, maison née en 2023, dont le slogan est simple: peu importe la forme. Si c’est la poésie, vous la reconnaîtrez.
Dans un entrelacs de mythologie et de paysages urbains ou sauvages, une voix trace le chemin d'une déambulation de l'Allemagne vers la Roumanie. Laurence Ermacova écrit en français, en allemand, en anglais, un peu en russe aussi. Elle fait passer les mots d’une langue dans ceux de l’autre, tisse leurs sonorités et laisse flotter les mots au-dessus du sens.
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Pour l’amitié du poème: Le Noroît a pour mission de rassembler autour du poème différentes voix qui reflètent les préoccupations de notre monde. Libre et rassembleur, le Noroît souffle où il veut.
À l’intérieur d’une petite boîte, trois avortons, trois disparues fantasmées, surnommées crevettes, vivotent. Non mère de cette non-vie, la narratrice choisit le vide du ventre afin
d’échapper au destin tragique de celles qui l’ont précédée. Car au bal des absentes, la mort rôde inlassablement. Recueil de deuil, de colère et de compassion, Adieu les crevettes est une reprise de pouvoir sur les rouages filiaux qui enchaînent, une ode à l’amour maternel et à la liberté de choix.
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"jardin" est né dans les interstices du quotidien, d’une terrasse de café à une autre, autour de motifs qui se répètent et se déforment pour dire le corps dansant, le corps de femme, le corps sexuel, le corps flottant en mer, le rire et les larmes. Mahmoud Darwich dit que l’identité c’est ce qu’on embrasse, ce qu’on amasse sur son chemin ; jardin est un lieu où j’ai tenté de la faire germer.